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schroen (---.---.202.60) 7 décembre 2006 16:00

Article trop bien écris, voir limite élitiste pour le commun des mortels à mettre en parallèle avec l’autre fil sur la pauvreté sexuelle en France.

Entendre encore et encore les couplets ringardisants sur la place de la femme dans la société commence à me donner des migraines, en effet, l’émancipation de la femme est sponsorié en quelques sortes par le capitalisme, par la division et la sectarisation créons de nouveaux besoins. Et cela depuis près de 100 ans alors qu’en viennent pas nous dire que c’est neuf ( les suffragettes en UK au début 1900) n’est ce pas bill smiley

Une petite histoire pour illustrer mon propos. Il y a quelques années alors en prépa Sciences Po, nous eumes en concours blanc un sujet, « La Femme. » Alors que toutes les penseuses se jettaient sur le sujet tel la meute des chiennes de garde sur une affiche Darjeeling, à base de écouter comment les femmes ont soufferts (je ne le nie pas d’ailleurs) et regarder le chemin à faire avant que nous puissions être libre !!! REVOLUTION quoi smiley

Kant aurant certainenement renvoyé toutes ces penseuses à leurs cours d’anatomie, en effet comment se libérer du joug d’une moitié indisociable qui est indispensable à la survie de l’espèce quoique...

Je décidais à tourner autour du sujet tels les 3 aveugles autour de l’éléphant dans le conte de Lao Tse.

Si la condition de la femme a énormémant évolué au cours du siècle passé, je ne remets d’ailleurs en aucune manière en cause ces avances et le fait qu’il reste des efforts (je reviendrais sur ce terme), comment considérer la place de l’homme dans la société ?

L’homme a connu plus de boulversement dans ses relations avec sa moitié en 1OOans qu’au cours des 1000 ans qui ont précédés. Pour des raisons de temps, je ne viendrais donc pas sur la place de la femme dans le haut moyen-age qui avait une importance toute particulière avant les épidèmies de peste à la mise au pas de l’église romaine et me contenterai de prendre pour repère l’époque romaine somme toute assez libérale pour la place de la femme dans la société.

Mais désormais la place de l’homme en tant que pilier de la famille est plus que révolu, que ce soit en terme d’image ou l’image de l’homme et par extansion celle du père est réduite à l’image d’une espèce de clown toujours à la ramasse, décalé et qui ne comprends rien à la vie actuelle.

Est ce donc un reproche faires à l’image collective du père ? Malheureusement il n’en est rien et cela est à mon grand désespoir beaucoup plus prosayque. En effet, les études marketings ont montrées que la femme est un prescripteur très fort en matière d’achat. Dès lors, TF1 et autres publicitaires ont choisi de caricaturer l’homme à un niveau ras des paquerettes. Alors on va me dire des exemples, vil machiste !!!! Des exemples mais il y en des masses, de Femmes de Loi en passant par le juge est une femme ou encore la série avec Touzet (dont le nom me reviens plus je dois être refractaire au charme de la plus femme du monde selon TF1) où les hommes ne sont que des larbins au cerveau atrophiés. Du genre :

mais non du con c’est lui le coupable !!!!

Finalement la libérilasation de l’image de femme à la télé ne serait elle pas du simplement à de vaine tentative de récupérer le prescripteur le plus important de la famille ?

Comme nous venons de le voir l’homme est réduit dans la sphère familiale selon les images de la boie magique à être abruti qui doit son peu d’intelligence à sa moitié.

Vous allez me dire, Madame, que les gens ne sont pas niais, à bon ? Connaissez vous les scores d’audience de TF1 ?

Mais ce phénomène se retrouve aussi dans les sentiments et l’acte sexuel et sur ces points je rejoins complétement l’article de l’auteur de l’article sur la marchandisation de l’amour.

Désormais, il n’ y a plus de place pour le charme, il ne compte plus que la beauté et de soit disant point en commun. Il est vrai que sur les sites de rencontre spécialisé, un cadre urbain pourra plus facilement levé de « la bellette » qu’un ouvrier de province (à moins qu’il soit fan de tuning ).

Cela étant dit, la pauvreté sexuelle, elle se retrouve principalement chez les hommes. La montée en force des revendications du plaisir chez les femmes (et c’est tout à fait légitime) fait que si vous êtes un mauvais coup mieux vaut vous recycler dans la sadomaso c’est plus sur...

A chaque pas dans la rue et sans avoir des prunelles chaste, les couvertures de journaux féminin sont couvert d’invective, du genre :

Comment trouvé l’orgasme meme si c’est un mauvais coup

Orgasme à la découverte de son plaisir

Je ne vois plus de partage rien que de l’égoïsme et des tentatives de vendre des canards sans intérêt bourrés de publi reprotage, l’homme est réduit à une verge au cerveau atrophié tout juste bon à ramener de l’argent si encore il n’est pas au chomage...

J’espère sincèrement qu’une fois que les féministes auront détruit jusqu’a la dernière parcelle d’estime des hommes, elles auront l’idée de reflechier à vivre en bonne intelligence dans le respect des différences de chacun...

Schroen


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