Malgrè le peu de foin médiatique et le buzz simplisme,
alors que Sarko n’a fait que critiquer une attitude tout en soutenant la politique étrangère de la France, Ségo ne s’est pas gènée pour prendre le contrepied de Chirac.
On peut critiquer l’un sur la forme, l’autre sur le fond
Si Sarko a des sympathies « atlantistes » (comme on dit) Ségo a donné des signes inquiétants de politique « néoatlantiste » (comme ondit aussi)
Je les renverrais bien dos à dos comme l’auteur, mais franchement Ségo a dépassé les limites.