Et puis l’idée d’aller au Japon pour continuer le buzz est aussi bien vue sur un autre plan : les petits malins qui voudront chercher des infos sur internet et qui risqueraient de s’apercevoir que ceux qui s’y connaissent refusent d’attribuer le tableau à Léonard, ces petits malins ne tomberont pratiquement que sur des textes en français, et quelques articles en anglais. Et combien de Japonais lisent couramment la français ?
C’est un peu comme si on nous disait ici qu’on a retrouvé une oeuvre majeure qui est d’un disciple de Seshu, et peut-être de la main de Seshu lui-même. Peu de gens s’y connaissent : on goberait tous. Et ceux qui voudraient se renseigner plus avant tomberaient sur des pages de kanjis japonais. Au final, la seule voix qui se ferait entendre dans ce foutoir serait celle des découvreurs...