@njama
Votre analyse est intéressante, mais le véritable pouvoir n’est plus en France.
Il est à la Troïka, à Francfort, à Bruxelles, à la BCE et au FMI à Washington.
Et ce dont il est question ne relève plus de la Constitution, mais de la nécessité d’imposer des décisions contraires aux intérêts des peuples. Mise en place de pouvoirs « de temps de guerre », pour faire face aux révoltes que les mesures anti-sociales provoquent et vont provoquer.
Sous couvert de « guerre contre le terrorisme », les libertés publiques devront être réduites et la démocratie réduite aux caquets. C’est la stratégie du choc de Naomi Klein.