Sarane Alexandrian n’a jamais rien fait dans son oeuvre pour que son « défi de l’imaginaire »-ni plus ni moins grand que celui que celui que se lance tel ou tel artiste anonyme-puisse devenir un jour autre chose autre chose qu’un défi lancé avec grâce, et son érudition dans ce domaine est une attitude affectée et précieuse qui ne porte pas à conséquence. Sa modestie relève plus de la coquetterie et du snobisme qu’autre chose.