Le livre est effectivement « panégyrique » mais c’est peut être l’unique ouvrage qui permet de plonger dans l’oeuvre de cet « ex-mais toujours surréaliste auteur . Les essais de Sarane Alexandrian ( je ne connais pas les romans..)sont des modèles du genre comme »l’histoire de l’érotisme« . Pour ceux qui regrettent que cet ouvrage ne soit pas »critique", il faut reconnaître qu’ils ont raison, mais que Christophe Dauphin n’aurait pas pu avoir accès à certaines informations s’il avait voulu aborder des sujets qui fâchent. Les surréalistes, Breton en tête, furent de sacrés Papes de la susceptibilité, et cela est toujours valable pour Sarane Alexandrian.