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Jacques 3 avril 2015 16:14

@antisimpliste


Une élection d’experts existe déjà : c’est le concours administratif, ouvert à tous les citoyens, anonyme, fondé sur la seule évaluation des compétences, sans intervention de lobbies, sans gesticulation électorale de type publicitaire, sans esbroufe, sans influence de l’argent. 

Quoi de mieux ?

A partir de là, se pose la question de la place des citoyens-experts dans le processus décisionnel, et sur ce point Céline apporte une réflexion sérieuse, merci Céline.

L’élu politique, de mandat unique et limité dans le temps (tiré au sort pourquoi pas, comme les jurés) doit avoir un rôle limité au contrôle des experts. Ce doit seulement être un commissaire politique, chargé d’apporter un regard citoyen sur le fonctionnement complexe de la chose publique. 

Ce n’est surtout pas un « manager » !
Le bien commun n’est pas une entreprise !

L’élu politique ne peut pas être un chef, d’ailleurs, en toute logique, son contrôle ne pourrait s’exercer que de manière collégiale, comme celui du Conseil Constitutionnel.
Ce collège d’élus citoyens aurait pouvoir de censure, de contrôle a priori et a posteriori, et de proposition, c’est tout.
C’est toute la pyramide de l’actuelle notabilocratie qu’il faut inverser.

Au diable les « notoires », comme disait De Gaulle !

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