« Enfin je signalerai une dernière menace qui pèse inexorablement sur le capitalisme : l’épuisement des ressources, en particulier des matières premières. Nous avons vécu jusqu’à maintenant dans un monde où l’énergie était bon marché, il faudra désormais apprendre à se passer du pétrole, puis du gaz, puis de l’uranium... »
Il y a quand même des ressources inépuisables, le soleil, le vent et d’autres sûrement. On peut peut-être compter aussi sur notre matière grise, à condition que l’on favorise son fonctionnement. Si seulement elle était moins sclérosée par le pouvoir des lobbies...