Il suffit de penser
qu’à la cadence de 200 000 êtres humains supplémentaires déferlant
chaque jour sur Terre, un quart d’heure suffit pour combler le vide
laissé par le séisme du Népal ; aux afflictions près, bien que
les naissances soient autant de bonheurs à prendre en compte dans
une certaine arithmétique. De quoi relativise en tout cas le concept
de « communauté d’origine et de destinée suprême »
concernant l’être
humain.
A lire à ce sujet, à l’adresse ci-après, un article dont la publication m’a été refusé par Agvx.
« Parole de Pape : Nous ne sommes pas des lapins »