voici les propos tenus par un ex moine bouddhiste occidental qui voyagea 3 années durant, parmi les différentes communautés bouddhistes en Inde puis en europe :
[…] Si je condamne la Chine, je ne peux toutefois fermer les yeux
sur la responsabilité religieuse et politique (pénale ?) des
principales familles aristocratiques, monastiques,
gouvernementales après 1949, lesquelles se « battent » toujours en exil, non pour les droits fondamentaux de l’homme et les droits
shakyamuniens de l’homme réprimés durant des siècles au Tibet,
mais pour la conservation des privilèges historiques, la restauration
des institutions autocratiques bouddhiques autrement dit du
centralisme monastique, la maîtrise oligopolistique du travail ....
Fiefs, serfs, esclaves, corvées, justice arbitraire, contrôle des
naissances, des propriétés, dettes héréditaires. »
L’image d’épinal en prend un coup....