Des dirigeants qui acceptent de partir sans être chassés, il n’y en a pas beaucoup. Et ce qui est en place a été fait pour qu’ils puissent être réélus indéfiniment dans des élections pseudo-libres ou être remplacés par leurs enfants.
Quant à dire : « Un véritable homme d’Etat doit avoir la capacité de répondre favorablement aux aspirations de son peuple », qu’est ce qu’ils en ont à faire ? Tant qu’ils sont « acceptés » par la « Communauté Internationale », le reste n’a aucune importance (cf Bongo, Mobutu, etc, etc).