@morice
La veille de la cérémonie à Ouistreham célébrant l’anniversaire du Débarquement du 6 juin 1944,
mon attention a été attirée par un vrombissement énorme comme je n’en avais jamais entendu ; les gens sortaient de chez eux un peu inquiets.
Soudain est apparu au-dessus de nous, volant en avion mais plutôt lentement l’Osprey.
Comme c’est un avion de combat, j’ai tout de suite pensé qu’un ennemi équipé d’un lance-roquette, même primitif mais dont le possesseur savait se servir, abattrait sans difficulté le gros bourdon.
Plus fort encore après avoir fait lentement, très lentement demi-tour, l’appareil est repassé en mode hélicoptère à moins de vingt kilomètres heures. Comment un tel pataud pourrait-il éviter d’être descendu en zone hostile ?
Le nombre d’accidents que vous décrivez suffiraient largement si l’engin était russe ou français, à en faire la risée du monde entier !