Une première analyse sociologique manque toujours : celle des primaires. De tous les candidats aux primaires, seule Martine Aubry a le mauvais caractère indispensable à la fonction présidentielle, par les temps qui courent.
Selon des journalistes, elle lui aurait déclaré : « Le problème, c’est toi ».
J’ignore encore si elle a les autres qualités requises. Il est certain qu’elle est moins inféodée aux américains. Je présume que elle, elle aurait livré les Mistral aux pays qui les a commandés.
J’ignore, mais je présume que elle aurait bafoué la promesse électorale faite aux féminazies et aux homosexualistes, la plus futile et désastreuse de toutes. Du coup, elle n’aurait pas eu à faire passer en garde à vue les familles d’officiers. Que ces gens là sont sabre et goupillon depuis des générations, voilà longtemps qu’on le sait ; déjà bien beau qu’ils soient à présent fidèles à la république et non plus à la monarchie. Et quand on a besoin d’eux, ils y vont, dans des coins pourris, mener de durs combat ; tandis que les homosexualistes n’iront jamais combattre dans l’Adrar des Ifoghas.
Maintenant pourquoi le PS s’est rendu incapable de prendre des décisions sensées, voilà une vraie question. Dès 1976 je voyais l’assaut des ambitieux, à la course à la place. L’éradication de la base populaire n’a pas été immédiate, mais irrésistible. A qui rend-on des comptes quand on est François Hollande ? Aux américains peut-être ? Et quelque peu aux militantes féminazies et homosexualistes. Surtout pas à la nation.