Je dois préciser ce qui rend les groupes paranoïaques : le sentiment diffus qu’on a de l’inavouable à cacher, et la terreur d’être démasqués par l’extérieur - nécessairement réputé hostile.
Cela rejoint la pathologie des secrets de famille, dans leur version dure : où le secret est d’origine criminelle. Alors que l’ascendance de Hergé en montrait la version folklorique (amours ancillaires et grossesse, d’où sont issus Dupont et Dupond), avec inconvenance sociale, mais aucun crime.
En sciences, nous avons un exemple consternant de groupuscule paranoïaque, devenu hégémonique : http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,1141.0.html
Depuis, il pratique de lourdes procédures de décervelage des étudiants, en particulier par truandage du vocabulaire, dont j’ai procédé à un démontage là :
http://deontologic.org/quantic/index.php?title=Quantique,_un_d%C3%A9m%C3%AAlage_linguistique_pr%C3%A9alable
Nos militaires l’ont bien éprouvé au Mali : la guerre est affrontement de volontés.
En principe, la science c’est juste l’inverse : coopération de volontés et d’intelligences.
En principe, en principe...