Le problème est que l’e jeune inspecteur stagiaire Bonny n’a eu aucune importance dans l’enquête Seznec. Deux groupes de policiers ont travaillé sur l’affaire, un à Paris, l’autre à Rennes. Sous la direction de deux commissaires et d’un juge d’instruction. Le nom de Bonny n’apparait que 4 fois sur 507 documents du dossier. 43 policiers viendront témoigner au procès de leurs enquêtes respectives ; On est à mille lieues de je ne sait quelle enquête « menée par UN policier » , le plus sinistre soit-il... (15 ans après les faits) Au contraire ce fut un dossier très fouillé,méticuleux dans la mesure où le corps n’avait pas été retrouvé il fallait réunir le maximum de preuves, ce qui fut fait. On peut même être impressionné par la volonté de vérifier minutieusement tous les dires de Seznec, aussi farfelus et mensongers soient-ils !