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Spartacus Lequidam Spartacus 10 juin 2015 10:06

Quel tissus de conneries.


les chômeurs, les malades ne sont pas payés en contrepartie de leurs cotisations .
Dans le secteur privé, tu cotises pas t’y as pas droit. 

La cotisation sociale permet de continuer à verser un salaire aux retraités.
Uniquement dans le privé. Dans le public la cotisation est fictive. C’est à charge du contribuable par coercition forcée de l’impot. (GRATOS). Donc quand c’est gratuit on ne compte pas ce qui donne les privilèges statutaires. Départs trop tôt, système de calcul qui encule la société civile.


Le système par répartition est un système de pyramide de Ponzi. 
C’est aussi une prison collectiviste qui fonctionne sur des ambiguïtés....
 
Il n’est pas accepté d’un commun accord mais imposé. 
Aucun contrat ne relie celui qui est ponctionné avec celui qui ponctionne. 
Vous ne pouvez quitter le système librement. C’est liberticide.
Le système dirigé par des syndicalistes favorise les groupes de pression dont sont issus les membres du paritarisme.


Le système par répartition s’apparente à la Mafia. 
Terreur sur ceux qui veulent partir, et extorsion forcée par la force de l’état socialiste pour être « assuré ». 
Direction et membres de direction inconnus du grand public.
Partage non contractuel en fonction des groupes de pression des ressources.


Système qui ne peut exister qu’en situation de monopole de contrainte. Système qui se doit de ne pas être transparent et cache la réalité des fonds collectés. 

S’il était si « formidable », les gestionnaires syndiqués de ces régimes tous issus de la fonction publique l’adopteraient. Mais ils préfèrent rester dans leurs régimes « spéciaux » financés par le contribuable....


Les entrants paye pour les sortants. La première génération reporte sa dette sur les générations suivantes et créant une crise sur une génération future le jour su cygne noir.

Jour ou le choix collectif est de sortir de ce système, la génération qui le veut est spoliée par la dette laissée par les précédentes. 
 
Chronophage, les besoins augmentent sans cesse créant une inflation de taxes, de charges et durées augmentées sur les ayants droits.

C’’est un système pourri. La preuve, l’auteur est bénéficiaire d’un régime spécial. 

Au nom de quoi défend il un système pour les autres que que lui même en est une exception ?
Réponse : sa gamelle de profit social sur le compte des autres.
Remettre en cause la répartition, c’est aussi mettre fin aux exceptions de son régimes de privilégié.



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