vous affirmez que François Mitterand a fait « muter » les fonctionnaires de police responsables de torture et qu’il n’a signé aucune note autorisant cette pratique.
Il est évident que personne de sensé ne signe ce genre de document ; en revanche, vous connaissez les formules : « Faites ce que vous avez à faire, je ne veux pas le savoir » et « dégageons notre responsabilité ».
Par ailleurs, dans la fonction publique, hormis les décisions disciplinaires, « mutation », lorsqu’elle n’est pas demandée par l’intéressé, rime toujours avec « promotion ».
Dans le cas de l’Algérie, les fonctionnaires de police rappelés ont certes perdu la prime d’outre-mer mais, pour leur sécurité et celle de leur famille, ont dû apprécier leur retour en métropole.
Comme sanction, il y a plus désagréable.
vraitravailleur