@JC_Lavau
Il
me semble que nous ne sommes pas ici dans une grande école en train
d’assister à un cours de physique-mathématique ... !
Ce
qui ci-dessus a été rappelé en début de mon intervention et ce
qui a suivi de mon cru (et ce qui va suivre ...) n’aurait pas pu être
traduit et donc ’’condensé’’ dans le langage mathématique puisque
c’est cette façon d’exprimer, soutenir et simplifier la physique
dite fondamentale – et à fortiori les modèles maxwellien – qui
y est ici et en premier lieu remis en cause.
La
seule ’’simplification’’ possible à apporter à mon laïus serait de
pouvoir assister visuellement à une manifestation du
phénomène décrit, représentation soutenue par ce qui se sait
aujourd’hui et est expérimentalement admis sur le sujet.
Mais manifestation-représentation pouvant maintenant être
faite sans qu’aucun mot, ni qu’aucune formule mathématique dite
savante ne soient utilisés et que, malgré cela, quel que soit la
langue dans laquelle il s’exprime (maternelle ou non) tout individu
né sur notre Terre serait en mesure de comprendre.
Et
puisque le phénomène dont il est question se déroule dans des
dimensions infinitésimales auxquelles nos sens n’ont pas accès, il
ne reste que l’analogie permise par le virtuel, autrement dit par
l’animation d’images de synthèse.
En
attendant qu’une âme charitable se présente, il ne vous reste qu’à
prendre une feuille et un crayon et, si ça vous chante, à tenter le
dessin en suivant mon explication phénoménologique : J. Gréa
aurait pu confirmer le dit-on, un bon
dessin vaut
mieux qu’un long discours. Mais
CE QUI EST n’étant qu’énergie-matière en propagation-mouvement
l’invention de l’image animée a aujourd’hui dépassé le bon vieux
dessin.
Mais
bon ! Ici et maintenant ce sera bien comme vous voudrez vu que
j’aurai fait tout ce que me permettaient mes ’’art’’
et compétences … ./