Derrière l’alibi des tableaux de Guéant, la piste de l’argent libyen
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Alors
que l’ancien ministre de l’intérieur assure avoir obtenu, en 2008, 500
000 euros de la vente de deux tableaux d’un maître néerlandais, les
investigations révèlent que le banquier soupçonné d’avoir effectué le
virement en sa faveur, Wahib Nacer, était l’un des gestionnaires des
comptes de Bachir Saleh, le patron du puissant fonds d’investissement
libyen en Afrique.