@ Mac Naab
Votre commentaire de 9 h 51 est pour le moins spécieux : même s’il existe des personnes en très grande précarité - c’est hélas une réalité -, le cas que vous décrivez ne peut exister en France, du fait des aides sociales disponibles en cas de grande détresse impliquant des enfants. Et il serait toujours possible à la mère, en attendant des jours meilleurs, de demander et d’obtenir la prise en charge de ses enfants par l’ASE.