Au poil près que nos ancêtres sont passés du singe à l’homme
grâce aussi à leur manque de poils. Un corps sans poils qui
transpire se refroidi plus facilement quand il court. C’est cette
capacité (en plus de la bipédie) qui lui a permis de devenir
l’animal le plus endurant à la course et de devenir un excellent
chasseur à l’épuisement... d’où meilleur alimentation = développement du
cerveau, etc.
Disons que notre intelligence tiens aussi aux touffes que nous
avons conservées ; tant que nous « yoyotons pas de la touffe ».