Bonsoir, Esprit Critique
Si j’ai bien suivi Hollande, ce n’est pas par la force armée qu’il espère la « neutralisation » de Al Assad, mais par la remise en question du soutien dont celui-ci bénéficie encore de l’Iran et de la Russie.
C’est en l’occurrence bien vu, car si Al Assad perd ces deux piliers, ou ne serait-ce que l’un des deux, il tombera de l’intérieur, victimes de ses « amis » désireux de voir la fin de la domination des Alaouites. Dès lors, toutes les cartes se trouveraient rebattues !