Je vois une grande supériorité de la machine sur l’homme : elle n’a pas d’états d’âme, ni de fatigue- si un homme ( ah !) s’avise de changer les piles à temps.
Donc, je suis sûre qu’elles seraient plus à même de toiletter les vieux, sans brusquerie ni impatience ni sadisme ; plus à même d’enseigner aux hyper actifs, enfants rois ; soigner les râleurs-euses- sans vouloir se débarrasser du problème puisque ça fait cent fois que celle-là m’emmerde avec ses migraines.
La machine ne se défoulerait pas sur son chien, le gosse ou le cheval, idéale comme lad ou promeneur de quadrupèdes aboyeurs.....
Bon, après, on se pose la question de savoir qui seraient ces humains et que pourraient-ils bien foutre dans la vie ; mais, chaque chose en son temps !