@hunter. Tiens ? La reprise mot pour mot de la propagande misandre victimaire : « La nature humaine aime être dominée, malmenée, à condition qu’on lui
offre une créature plus faible ( autre humain, femme, épouse, animaux),
sur lesquels elle pourra compenser ses frustrations en leur faisant
subie les pires violences. »
Parce que la violence féminine, la criminalité organisée féminine, il ne serait pas politically, feministically and terroristically correct, d’en témoigner. Les témoins gênants, il est urgent de les suicider pour qu’ils ne parlent pas.
Voir par exemple la Reine-Mère qui protège énergiquement la criminalité organisée féminine :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/proteger_criminalite_feminine.h tml
Ah un léger détail encore : entre autres guerres hybrides, que ce soit en Ukraine, au Brésil ou ailleurs, Gyorgy Soros finance la propagande misandre victimaire. Un vrai philanthrope !
http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,2168.0.html
Puis en plus, les misandres victimaires, c’est achetable si la CIA y met le prix. Voir par exemple comment ils s’y prennent contre Julian Assange.
http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,1899.0.html
Pion important dans la guerre hybride contre les peuples, alors en priorité contre le peuple américain, Andrea Dworkin professait que « toute mère nourrit un traître : son fils ». Au bout de quelques décennies de guerre sexiste dans nos pays surenveloppés son slogan est renversé : Dans toute famille de culture misandre victimaire, tout fils de féministe a contre lui une félonne acharnée : sa mère. Occasionnellement sa soeur aussi, si elle est corruptible par la reine-mère, et est elle aussi toxique, malveillante et prédatrice.
Ne soyez jamais le fils, ni le frère, ni le mari, ni le père, ni l’oncle d’une féministe ! Elle vous fera payer très cher le crime de masculinité que vous commîtes rien qu’en naissant.