@Pere Plexe Il n’y a pas dans ce livre de critiques de Soral, à en croire le résumé du NO, mais la description d’un business modèle cohérent pour vendre des produits éditoriaux autour d’un courant idéologique. L’aspect comique étant que le NO est aussi, avec la nébuleuse de machins autour, un projet exactement du même ordre, mais qu’il ne parvient pas à survivre hors argent du contribuable faute de lectorat. Tous cela abstraction faite des modèles idéologiques que voudraient véhiculer et l’un et l’autre.
La conclusion devrait être que l’aimable amateur Soral est plus pro que les guignols de l’Obs, ou bien que ceux-ci ont suffisamment confiance dans leur capacité à obtenir de l’argent public pour ne pas se donner le mal d’être lisibles donc « vendable »..