Désolée, Cricri, que vous soyez sorry, mais il ne faut pas généraliser votre cas personnel.
Bien qu’ayant étudié l’anglais pendant 7 ans (comme le fait une majorité de lycéens) je suis très loin de parler cette langue couramment et pas du tout en mesure de faire valoir mes droits éfficacement au moyen de cet outil linguistique. Pour défendre mon bout-de-gras, je ne me sentirais tout-à-fait à l’aise qu’en français.
Pour que l’Europe soit équitable, il faut qu’elle RECONNAISSE LE DROIT à chaque citoyen d’utiliser une langue qu’il maîtrise pleinement, donc dans 99% des cas, sa langue maternelle. Peu d’entre nous seraient prêts à renoncer à ce droit, je pense.