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En réponse à :


eric 29 septembre 2015 10:20

De toute façon, si j’ai bien compris, la question ne se pose pas. Au moins d’un point de vue démocratique. Majoritaires en siège, les sécessionnistes seraient minoritaires en voix.

Imposer une rupture à une majorité hostile ? La question serait plutôt si les 21 000 policiers de Catalogne seraient suffisant pour cela...

Après, que les riches ne veuillent plus payer pour les pauvres....

Des séparations, il vient d’en avoir plein. Pas en Europe de l’ouest comme vous le signalez. Mais entre la Tcheco, l’ex Yougoslavie, les pays baltes, on a suffisamment d’exemple pour voir que cela peut se passer bien ou mal suivant que les gens concernés sont plus ou moins raisonnables.

Mais je ne vois pas que l’on puisse par principe être favorable ou défavorable à priori et en particulier quand on est pas directement concerné. SI les Corses veulent nous quitter par exemple, je le regretterai, mais je ne vois pas au nom de quoi je pourrai m’y opposer le jour ou il le voteront majoritairement et démocratiquement. Je comprendrai assez mal que des instances, fussent-elles européennes, créent des obstacles institutionnels bureaucratiques pour s’y opposer.


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