Article bien long pour ne rien dire, dès lors que l’essentiel y est occulté, comme il le sera à COP 21 et l’est par tous les pouvoirs.
Aucune des politiques, notamment économiques et sociales, menées par les
États avec leurs aspects
écologiques, migratoires, de l’emploi, de santé publique, de
sécurité, etc. ne peut avoir de sens si ne sont pas prises en compte
les réalités de la démographie mondiale.
L’empreinte
écologique de l’humanité résulte du pillage des ressources
limitées de son habitat qu’est la terre. C’est ce qui est extorqué
à celle-ci pour le développement de l’espèce la plus prédatrice
de toutes.
L’écologie
en tient-elle compte, quand ses partisans, absorbés chacun par l’un
de ses aspects dont il a fait son hochet, négligent que chaque jour
220 000 êtres humains supplémentaires déferlent sur la terre ?
Quand elle est mise au service d’intérêts politiques, plutôt que
défendue par eux. ? Non ! Elle n’est plus l’écologie mais une
idéologie comme une autre, luttant pour la conquête ou la
conservation du pouvoir, à des fins noyées dans un flot de
revendications démagogiques.
Elle
devient écopolitique, véhiculée par les partis qui la servent à
travers le prisme de leurs ambitions et surtout s’en servent, en
ignorant les conséquences pourtant prévisibles d’une croissance
démographique incontrôlée.
Imaginer
l’homme renonçant au développement et au progrès dont il est
porteur est une utopie d’autant plus dangereuse qu’elle porte à
différer le seul combat qui vaille dans l’urgence : limiter la
taille et les proportions de la pyramide sociale, pour l’adapter à
ce qui reste des ressources de la planète.
Pour
approfondir cette réaction
:
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com