Le problème ne vient pas du progrès mais de ce que l’on en fait et
comment nous le partageons. Or, seul le progrès lui-même nous aidera à
régler ces problèmes que la complexité du monde connaît.
Bien entendu, alors que manque-t-il ?
De la spiritualité et de la sagesse au gouvernement avec le dosage adéquat de techniciens de la politique. Quant aux Amish cités au-dessus, se sont des serviteurs de Jésus qui font mauvais ménage avec les courtisans de Cythère, les artistes et originaux et plus encore avec les Crésus rutilants qui pourraient faire des investisseurs (au mieux)...rien est parfait dans la nature humaine qui doit sans cesse se remettre en question.
L’ambivalence est notre fonctionnement, dans un équilibre à repenser sans cesse.