@oncle archibald
Concernant mon propos ci-joint : « cet auteur nie
le droit à disposer de sa propre mort de manière générale », je vous
encourage à lire tous les articles que cet auteur a publiés sur le sujet (et Dieu sait qu’ils sont nombreux) et
vous verrez son déterminisme à une solution (un refus) globale imposée. Pour le
suicide, c’est exact, il n’est pas interdit mais, ce que vous appelez suicide dans
cette circonstance, je le nommerais plutôt aide et assistance à partir dans la
dignité demandé par le patient qui n’a pas toujours les moyens ou les capacités
physiques à le faire lui-même. Vous savez qu’il y a une grande hypocrisie sur
le sujet car, il y a des médecins qui sur la demande de leur patient qui ont
fait ce geste, que je qualifie d’humanitaire, et qui se retrouvent condamnés.
Je trouve injuste que celui qui a apporté son aide, sur la demande de son
patient, soit mis au banc des accusés. Concernant
l’accompagnement en soin palliatif, évidement que je suis à 100% pour
connaissant un petit peu le sujet par le biais de ma compagne qui a été
bénévole pendant plus de 15 ans. Pour finir, évidement qu’il faut combattre les
abus, mais attention, interdire à celui qui réclame de l’aide pour une fin de
vie digne est aussi une forme d’abus, de totalitarisme…