Les fraudes et les crimes étant majoritairement bancaires, il va sans dire que la circulation de monnaie fiduciaire, seul outil permettant d’effacer la dette des particuliers et entreprises (sauf à produire toujours plus de montagnes de monnaie-dette), est une nécessité d’ordre public.
D’ailleurs, moins il y en a (à peine 5% aujourd’hui contre 50% lors des trente glorieuses), plus les financiers se paient sur la bête, à savoir la fréquence (ou volatilité) des crises et des euphories boursières, en provoquant l’instabilité, et plus l’économie réelle est détruite, car sur du plus long terme.