Cela fait plaisir de trouver enfin un papier qui dit autre chose que « c’est la faute à la société de consommation, à Bush, à Marine Le pen, aux inégalités et aux gaz aux effet de serre et nous devons boire du champagne pour lutter contre les »forcenés..." (voir couverture d’un des journaux de référence de tenant des discours ci-dessus).