Poutine est vraiment l’homme politique le plus valeureux de cet épisode de l’Humanité.
C’est pourquoi il est autant conspué par les média-caniches : il fait de l’ombre aux puissants du moment les plus corrompus.
Pourtant Obama (Assad doit partir quand même, ça sera surely mieux après) et Clinton (exclusion aérienne sur la Syrie et
on doit prendre la tête de la coalition) ressemblent tellement à un mix entre les précieuses ridicules et des figurants de films de zombies, qu’il n’y a rien de comparable.
Sauf pour les mononeurones des médiamoutons qui croient encore à ces chiures de mouches à merde (notez le double effet de l’insulte
).