Le cas de la Syrie est assez ambigu.
Tant qu’il y avait deux opposants qui se chatouillaient par la barbichette, l’occident pouvait donner des bons points à l’un et des mauvais à l’autre.
Poutine était parmi les non-alignés et tenait bon au risque de se voir montrer du doigt par les « bons ».
Le malheur c’est qu’il y a eu un troisième, si pas un quatrième.
La géopolitique se compliquait.
Deux mauvais, dont le premier combattait le second.
La Russie a des bases en Syrie et voulaient les garder comme base avancée.
Passer de la Russie à la Syrie pour aller bombarder de l’autre côté de la Turquie, on sait désormais à quoi cela peut mener.
Régler le problème syrien se fera dont en deux phases.
Hollande va voir Poutine demain, après Obama.
Lundi ce sera le président chinois.
Suite sur l’écran noir de nos nuits blanches....