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Voila, c’est fait ! Les pilotes des F-16 israéliens commencent a critiquer les décisions du Führer  Netanyahu. Le parrain veut les envoyer jouer le rôle d’ appâts
au dessus de la Syrie !
 Netanyahu, pour éviter toute défection de ses pilotes, aurait ordonné qu’aucun pilote ne vole seul au dessus de la Syrie. 
.
Ce n’est pas une stratégie nouvelle : Adolph Hitler a utilisé la même vers la fin de la guerre. 

De sources libanaises :

S-400 en Syrie : la liberté d’action des avions israéliens freinée L’équipe du site

Aucune réaction de l’armée israélienne n’a été exprimée sur le déploiement du S-400 russe au nord-est de Lattaquié. Il n’en demeure pas moins qu’il constitue une source de préoccupation.

« Avons-nous quelque chose à craindre ? La réponse est : oui et non », titre le journal israélien Times Of Israël, selon lequel si les rapports des médias russes contrôlés par l’État sont vrais, Israël n’aura plus la liberté d’envoyer des avions en Syrie à l’improviste.

« Le système S-400 sera une épée de Damoclès sur la tête de l’armée de l’air israélienne – toujours présent, toujours prêt à frapper un avion israélien sans méfiance dans le ciel, a indiqué Tyler Rogoway, un contributeur du site d’informations militaire, Foxtrot Alpha, mercredi.

Selon lui, cela devrait juste changer les règles du jeu.

Tout en affichant son scepticisme quant à la rapidité avec laquelle Moscou a déployé cet armement en Syrie, le journal Times of Israel s’est intéressé à ses capacités militaires : vu qu’il combine un système de radar de pointe, ceci lui permet de détecter des missiles balistiques et les aéronefs à haute et à basse altitude qui se trouvent à des centaines de kilomètres de là, avec une variété de missiles capables de les atteindre.

« Tout, d’un avion de chasse F-15 à un bombardier furtif B-2 qui rentre dans le rayon du S-400, risque d’exploser dans le ciel », estime-t-il.

Selon lui, son déploiement à Lattaquié va donner le contrôle aérien à la Russie sur la quasi-totalité de la Syrie, le Liban et Chypre, plus de la moitié de la Turquie, des parties de l’Irak et la Jordanie – et, bien sûr, Israël.

Se voulant rassurés et rassurant, les experts israéliens s’efforcent de se fier au hotline établi au terme d’un accord conclu entre militaires russes et israéliens au lendemain de l’intervention russe en Syrie, pour éviter toute friction. Les mesures qui en découlaient n’en étaient que volontaires.  Avec l’avènement du S-400, la coordination des attaques au préalable devient plus que nécessaire. Une restriction à ne pas sous-estimer.


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