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Reinette (---.---.102.228) 11 janvier 2007 16:35

à Bateleur du Tarot (pas de larme pour les dictateurs)

(...alors que la France avec la complicité de Kofi Annan (secrétaire Général de l’ONU) se bourrait les poches avec les dollars...)

mon pauvre Bateleur, dites-moi qui ? ne s’est pas mis des dollars dans les poches dans cette histoire ??? on gagnera du temps !

En 1941, le Journal des Finances et l’Agéfi se félicitaient de l’influence bénéfique de l’Occupation sur la Bourse de Paris. 60 ans plus tard, on retrouve les mêmes qui saluent l’influence bénéfique du 11-septembre et de la guerre en Irak sur toutes les Bourses du globe.

« On achète au son du canon, on vend au son du clairon. » Jean-Pierre Gaillard, France-Info, (mars 2003)

Dans leur grande majorité, les Irakien(ne)s sont pris entre l’enclume des forces d’occupation et le marteau de la résistance armée, qui compte dans ses rangs d’anciens tortionnaires baasistes nostalgiques du dictateur Saddam et des milices islamistes désireuses de tâter du pouvoir.

De quoi désespérer...

Créée en juin 2003, l’Organisation pour la liberté des femmes en Irak (OWFI) compte 500 membres à Bagdad et des ramifications dans plusieurs villes.

Il faut dire que la situation des femmes dans le pays ne s’est guère améliorée depuis l’arrivée des troupes de la coalition. L’autorité provisoire a même décidé en janvier 2004 d’abroger le code de la famille, plutôt laïcisant, qui était en vigueur sous le régime baasiste, pour le remplacer par le droit islamique (charia).

Pour Houzan Mahmoud, représentante de l’OWFI en Grande-Bretagne « la guerre et l’occupation ont permis l’émergence de groupes islamiques politiques qui terrorisent quotidiennement les femmes ».


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