Bonjour, Jean-Pierre Llabrés
En effet, et cela dès la première instance. Mais c’était quasiment impossible, eu égard aux circonstances particulière du « meurtre », commis en réponse différée à une agression et sur une « victime » de dos.
Mais 3 à 5 ans de prison ferme en appel, le reste étant assorti du sursis, suffisaient la semaine dernière à rendre très vite sa liberté à Jacqueline Sauvage. Ses filles et elles espéraient sans doute une issue de ce genre, à défaut d’obtenir l’acquittement au titre de la « légitime défense » invoquée par le duo d’avocates. La condamnation de jeudi est donc une terrible épreuve pour elles.