Un succès diplomatique qui se fonde sur du vent est une moquerie. C’est comme si un conducteur de travaux qui sait que le boulot est foireux pour une raison qui n’est pas forcément de sa faute regardait le responsable de la communication faire l’éloge du travail à des futurs utilisateurs qui ignorent tout.
Plus rien n’a de sens si le subjectif ne respecte pas ce qui est objectif, c’est du foutage de gueule...