Au contraire le Monde de ce matin fait sa une sur des atrocités qu’il déclare avérées du régime de Bachar.
C’est peut-être vrai, mais le coup des soit-disant bombardements de Kadhafi sur 500 civils reste dans la gorge de nombreux lecteurs avertis, d’autant plus que le journal a toujours refusé de rétablir la vérité et il ne s’est bien sûr jamais excusé.
Le coup de la fausse traduction de la phrase de l’ancien président iranien, en UNE, pareil, pas d’excuse, pas de rétablissement de la vérité dans une UNE suivante.
Que ce journal crève.