Comme on aimerait
encore pouvoir compter aujourd’hui sur des « politichiens » du même
calibre que François Mitterrand au lieu de se farcir des rescapés
du certificat d’études.
Le dernier lettré a
été chassé comme un malpropre du parti qu’il a créé.
Place à la
médiocrité de ceux qui ignorent désormais jusqu’à l’existence
dans la richesse rhétorique française du subjonctif imparfait.
Triomphe du langage
« tweetesque « sur la phrase construite.
L’esprit de
synthèse se réduit à la pensée des ânes .
Il fut un temps où la langue française était à l’honneur et bénéficiait de l’attention attendrie de tous ceux de gauche et de droite qui en avaient encore le respect.
Loin des borborygmes indélicats des gorges que leur instinct grégaire épuise à scander : « nous sommes chez nous » .