Je préfère ne pas envisager le pire. : préférer ne pas envisager le pire n’empêche pas qu’il arrive.
Et puis, de toute façon, en 2017, on risque d’avoir à choisir entre la peste, le choléra et le sida ; que vous votiez ou non, vous aurez l’un des trois sauf si le pire arrive et dans ce cas, ce sera l’inconnu total.
En attendant, on risque d’être en état d’urgence permanente : l’année 2016 commence plutôt bien pour l’oligarchie !