le cadre :
toute l’histoire surtout ancienne d’israël ne présente pas des rois
avec les athéniens démocrates en face, loin de là,
l’ensemble du cycle prophétique, sur des siècles,
pose sans arrêt la question du statut de la parole publique,
la pourriture du royaume correspondant à sa mise à l’écart,
c’est encore plus insistant plus tard à l’étape sapientiale,
on appelle ça la tokékha une espèce d’audace de la parole ou plus strictement liberté de dire, de mettre au clair, etc. dès que cela est perdu, Israël n’a plus lieu, en tout cas politiquement,
la bible c’est ça non-stop.
les réalités :
l’ensemble de cette affaire avant d’être de dollars & réseau, est question de parole,
et il n’y a là que les paroles des soldats de tsahal, rien d’autre,
donc t’as beau injecter du blé, c’est là, criant.
les plus réelles réalités encore :
comment faire pour qu’il lise au moins baudelaire ?
tu lui en a parlé ?
non
et à l’école ?
non plus
il est chez toi ?
oui, cadeau du cousin
saisis-toi de l’ouvrage et jette-le en hurlant à l’horreur, grande scène...
ça marche, tu crois ?
certaine.