Quand mécanisation, automatisation et informatisation se substituent massivement au travail humain pour produire la richesse, la seule possibilité de continuer à assurer à chacun l’accès aux ressources qui lui sont nécessaire consiste en une restauration de la puissance publique et la réappropriation par la société du contrôle des outils - maintenant numériques - de productions et des leur bénéfice, soit l’abolition du capitalisme privé.
Pas gagné, mais avons-nous encore le choix ? Si nous ne l’abolissons pas, c’est lui qui nous abolira !