La barbarie, les horreurs, les
atrocités, l’immonde torture, les abominations ne sont pas une spécificité
française. Ce sont là choses également partagées par toutes les tribus, tous
les peuples, toutes les nations, tous les États, depuis des millénaires, et ce,
à travers la planète entière.
Mais l’auteur qui, rappelons
le, ne fait que traduire un texte émanant d’un Jordano-américain au demeurant
chrétien, ce qui a échappé à nombre de commentateurs hâtifs, nous livre ici un
propos engagé mais non dépourvu d’utilité, en ce sens qu’il nous ramène à nos propres errements et nous invite à un
examen de conscience salutaire, surtout lorsque, comme le rappelle un
commentaire voisin, "quand on se trouve au même niveau que tout le monde,
on ne la ramène pas, on ne se décrète pas universels dans nos valeurs
humanistes […]
J’ajouterai : " et l’on
ne se glorifie pas sans cesse d’être la "patrie des Droits de
l’Homme" .