« ...celle du combat pour l’émancipation humaine, pour l’élévation de la conscience et pour la construction d’un monde de justice, de liberté et de fraternité. »
Retour à la case XIXe siècle...
Au tout début de son best-seller De la horde à l’Etat, Eugène Enriquez, psychosociologue de gauche, écrit :
« Le dix-neuvième siècle fut le siècle de l’espoir, de la
croyance au progrès social, de l’aptitude de chaque homme à devenir un être
fraternel pour les autres. Le vingtième siècle est celui de l’inquiétude et des
désillusions du progrès. »
Je n’ai pas de conseils à vous donner, mais si j’étais à votre place, je prendrais acte et je reverrais mes « fondamentaux ».
Les vôtres datent d’une époque où le prolétaire consacrait la moitié de son salaire à l’alimentation de sa famille, qui s’entassait dans un taudis.
Il serait temps de comprendre que ces temps, comme leur discours, sont révolus.