Dire que la science a parlé, et que la messe
est dite, c’est une contre-vérité. En effet, il n’y a aucune preuve
scientifique que le CO2 (gaz de la vie car indispensable à la photosynthèse)
ait une action mesurable sur la température, quelle que soit son origine,
anthropique ou naturelle. D’autant que, selon le rapport scientifique AR5 (non
lu par les politiques), nos émissions de CO2 ne représentent que 4% environ du
total des émissions : http://imagesia.com/echanges-co2_10hg0, ce qui est cohérent avec l’analyse
isotopique (5% de CO2 anthropique dans l’atmosphère).
Parler
de réchauffement climatique est également une contre-vérité. Comment est-il
possible que l’auteur ignore qu’il n’y a plus de réchauffement climatique
depuis 1997, et que les projections des modèles numériques divergent de plus en
plus des observations, ce qui confirme que leur crédibilité est nulle, tout
comme les thèses hypothétiques du GIEC qui en sont le socle ?
http://imagesia.com/plantage-lamentable-des-modeles-numeriques_10hj7
De plus, ce non-réchauffement se produit sur une
période au cours de laquelle il y a eu inflation de nos émissions anthropiques,
et des scientifques éminents prévoient une période de refroidissement, en
fonction des cycles climatiques bien documentés, de période 1000, 230 et 65 ans,
curieusement ignorés par le GIEC/IPCC.