@sls0
Comme je l’ai écrit dans un commentaire
plus haut, un premier procès contre la mairie nous a donné raison, parce que justement
nous avions pu faire des tests vibratoires par l’APAVE.
Je n’ai plus les chiffres en tête,
mais toute la structure tremblait au passage des bus et les résultats transmis
par les capteurs n’étaient pas discutables. Le tribunal n’a plus eu qu’à s’incliner.
Dans notre cas, concernant l’origine
de l’histoire, il n’y a pas eu d’effet boule de neige, mais elle a eu lieu
lorsque le nouveau maire nous a trompés en nous promettant qu’un arrangement
serait trouvé lorsqu’il serait élu, nous avons voté pour lui et lorsqu’il a été
élu, il n’a plus donné de nouvelle durant près de deux ans. Ayant compris notre
erreur et que nous avions été trompés, nous avons demandé la réouverture des
écritures d’expertises et l’organisation des tests vibratoire. Or au lieu de
faire ce que nous avions demandé, à peine une quinzaine de jours après notre
demande le rapport était déjà déposé. Ce qui prouve qu’il était déjà bouclé à l’avance
au détriment du débat contradictoire.
La procédure administrative c’est
poursuivit et le jugement est tombé, et sans tests, nous n’avons pas pu prouver
que la maison tremblait toujours aux passages des bus, malgré la réfection de
la chaussée.
Nous avons été déboutés de notre
demande et j’ai écrit mon courrier pour essayer un appel à la raison, mais tout
ce que j’ai obtenu c’est l’intervention de la police et des services médicaux
et judiciaires.