J’aime bien ces folles journées, mais permettez moi de faire une digression, car impossible de ne pas relever la contradiction entre le thème, sur « la nature », et la politique dévastatrice qui tend à transformer 2000 hectares de bassin versant, et de nature normalement protégée pour un projet contesté aux portes de Nantes, celui de ce doublon d’aéroport, au grand bénéfice de Vinci...Voilà que Madame Royal aurait donné des assurances que les familles ne seraient pas expulsées,
qu’en est il ?
on espère que ce ne sont pas des paroles en l’air de diva, chantant l’air de la nuit....
Espérons que tout cela ne se transforme en requiem, et qu’il n’y aura pas de « folles journées » tout court.
Et qu’on pourra donner pourquoi pas dans une clairière de la zad, l’an prochain,, « le songe d’une nuit d’été », de Mendelssohn, qui est une ode à la vie et au bouillonnement de la vie et de la nature par exemple.
Des mariages entre musique et nature, il n’y a qu’à se servir, et Mozart lui même, écrivit une petite pièce, dont il eut la surprise après l’avoir joué à la flute, d’entendre un oiseau, le lendemain, en reprendre la partition, mais améliorée, s’aperçu t’il.
Ce qui fit que la version définitive est celle de l’oiseau.