La qualité, ce terme très positif et désirable, appliquée ici au fonctionnement de l’entreprise, possède son corollaire : le zéro défaut.
Les critères sont délicats à mettre en oeuvre et demandent une forte implications des acteurs à tous les niveaux. On aimerait avoir un ou deux exemples. Par contre si cette qualité augmente les coûts de fonctionnement, qui décidera de son application ? De la qualité on glisse vers l’efficacité, puis au rendement, et finalement aux coûts.
De la qualité désirée on s’oriente vers la culture d’entreprise (et ses habitudes, bonnes ou mauvaises), terrain souvent jalousement gardé et âprement défendu. Tout cela est difficile à « vendre ». Mais, il faut essayer.
Dans mes responsabilités j’ai toujours pratiqué le « management by walking », et parlé à tous, tous les jours. N’oubliez pas ce principe de base, il s’y trouve d’immenses gisements de qualité.