@Alren
Bonjour,
Vous n’aimez pas la formule, c’est votre droit. Si vous ne comprenez pas le concept qu’elle contient, cela vous regarde. D’ailleurs, plus loin, dans votre billet vous l’expliquez parfaitement. Alors, oubliez le mot et reconnaissez à la chose son intérêt.
Il y a beaucoup de gens qui croient que faire de l’antiaméricanisme primaire apporte des solutions. En ce qui concerne les méthodes de gestion à la française inspirées des écoles de gestion étrangères et complètement galvaudées, travesties par des consultants à la con, on voit les résultats en France. Les cultures d’entreprise à la française ont la vie dure. Quand on parle de qualité, c’est la levée de boucliers. C’est pitoyable.
Les clients sont programmés à accepter ce que le matraquage et les publicités mensongères leur inculquent. Votre notion de l’acheteur parfaitement informé et parfaitement raisonnable relève de l’économie néo-classique d’un autre temps.
Les « bons enseignants » ne savent que rabâcher des préjugés et des lieux communs qui leur servent à garder leur poste. Le corporatisme et l’esprit de clocher ont encore de belles années devant eux.
La France, c’est pas joyeux, et ça se voit tous les jours.